Si Internet et les nouveaux réseaux de distribution ont considérablement modifié nos habitudes de consommation, ce n’était que les balbutiements d’une nouvelle ère de consommation. Aujourd’hui que les marchés ont radicalement changé, les consommateurs, clients ou prospects ne se satisfont plus d’un sourire. Exit le commerce de contact, bienvenue dans l’autre galaxie de la consommation, celle de la Big Data.
Si les générations X et Y ne sont pas forcément nées avec Internet et une connexion au bout des doigts, la génération Z, en revanche, ne se nourrit pas non plus que de virtuel. Dans une démarche de partage et donc au travers de ces recherches virales, elle ne se satisfait plus d’un seul avis. Pour aller toujours plus loin dans l’approche d’un client dont les habitudes d’achat se complexifient, les entreprises doivent développer leurs stratégies dans un souci de transversalité, et donc faire appel à de nouveaux professionnels pour étudier la Big Data.
Parce que, répétons-le, les concepts de vente se complexifient, les politiques internes doivent être sans cesse plus créatives afin de conserver ou d’accroître leur leadership sur les leads. Entre la collecte d’informations leads, toujours plus pointue et affinée, l’exploitation et l’analyse, les croisements de ces données avec notamment les différents réseaux sociaux, la protection de ces mêmes données… les concepteurs et analystes doivent fournir un travail d’une grande précision.
Dans la majorité des entreprises où le service commercial a du mal à suivre la perpétuelle évolution galopante du web, c’est bien souvent le service marketing qui cherche à tirer son épingle d’un jeu… malheureusement obsolète. La véritable force de prospection et de vente revient alors aux structures qui ont déjà assuré cette transition, grâce notamment aux traffic manager, data analyst, data scientist…
Si Internet procure aux entreprises des économies d’échelle substantielles, la gestion de la digitalisation doit être confiée à de nouveaux professionnels. Là où, autrefois, une simple secrétaire ou un chargé de com’ distribuait un budget publicitaire au travers de médias classiques, aujourd’hui, par exemple, un traffic manager va aller cibler les leads au plus près par des moyens totalement différents, pour un impact immédiat qui doit sans cesse être remis en question. S’il est le premier maillon d’une nouvelle chaîne, la seule présence du traffic manager ne suffit pas à accroître la performance. Il s’agit de réorganiser l’ensemble des services dans un souci de transversalité. Les data analyst et data scientist viennent ensuite analyser, administrer et gérer les données directement issues de la pub (grâce au data marketing), afin de mieux connaître les visiteurs, susciter des besoins et leur proposer les services et produits répondant le mieux à leurs attentes, à leur personnalité, habitudes de vie…
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