Lorsque vous délivrez un message concernant votre marque ou un produit, publicitaire ou non, pensez à le valider en passant par les critères qui suivent. Faites de votre message un message efficace !
Votre message doit être compréhensible, et ce, immédiatement ! Le destinataire doit vite comprendre “de quoi il s’agit”.
Autrement dit, répondre à la question “Quoi ?”.
Le message délivré doit être facile à retenir mais aussi facile à restituer pour qu’il soit plus relayé.
On peut alors vérifier si l’information principale du message est bien mise en avant dans l’ensemble du propos.
Une bonne mémorisation (au moins du nom de la marque) permet l’enclenchement du chemin de conversion : le prospect pourra ensuite s’informer sur le sujet (la marque, le produit) et votre e-réputation fera a priori la suite…
La marque doit être identifiable dans son message. Le message doit donc être attribuable à la marque et surtout cohérent avec son identité.
Cela passe par la charte graphique mais aussi la ligne éditoriale de la marque, le support et le canal utilisé.
Typiquement, lorsqu’on voit un fruit avec des bras, des jambes et un visage, on reconnait la marque Oasis !
Pour intéresser le public cible, il vaut mieux éviter le plagiat volontaire ou involontaire d’un concurrent. Un message inédit, exclusif, original aura plus de chance d’atteindre votre destinataire.
Les “plagiats” ont cependant déjà bien fonctionné par le passé. Le duel Opel contre Renault a par exemple fait son petit effet en terme de visibilité et d’impact sur le public, qui en a beaucoup parlé. Renault reprenait précisément “les codes” de Opel pour défendre la qualité française.
L’effet était alors clairement recherché pour faire le buzz.
Dans l’idéal votre message doit avoir une conséquence sur le comportement de votre public cible : un impact positif sur l’opinion, un achat, du bouche-à-oreille…
L’exemple du duel entre Opel et Renault est un bon exemple d’un impact réussi, ces publicités interposées ont en effet beaucoup fait parler d’elles.
Cela peut paraître évident mais un message ne doit pas être désagréable à entendre, sauf dans certains cas où ce serait justement l’effet recherche, par exemple : campagnes anti-tabagisme ou anti-violence…
Le message ne doit pas faire l’objet d’un rejet de la part des destinataires, que ce soit par rapport à son contenu ou par rapport à sa forme, qui n’est pas à négliger !
Qu’en pensez-vous? Avez-vous d’autres suggestions pour valider un message? D’après vous, ces étapes de validation seraient les mêmes dans une communication de proximité et dans une communication internationale?
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Auteure : Iris Laventure